Tout va mal au CSAC, apprend-on depuis plusieurs jours. Selon nos fins limiers, l’actuel président, en la personne de M. Christian BOSEMBE serait au centre du mauvais climat du travail qui a élu domicile il y a quelques mois au sein de cette institution d’appui à la démocratie. En dépit des efforts de tous les membres de la boîte de ramener tout à l’ordre, le Président du Conseil supérieur de l’audiovisuel et de la communication (CSAC) préfère emprunter un chemin qui est celui de régner en seul maître à bord. Il intimide, il torture et il prolifère des menaces à tout membre du CSAC qui oserait le pointer du doigt. Aujourd’hui cette situation a dégénéré et le CSAC devient une institution où la tranquillité du travail est incommode. Car M. BOSEMBE promet même de jeter au geôle celui qui lui tiendra un coup de gueule. En effet, le dernier récit indiqué très récemment par l’un des membres du CSAC n’a pas encore fini de faire le tour de la toile. Il s’agit du récit d’un de trois membres interpellés par les services de sécurité. À en croire ce membre du CSAC, M. BOSEMBE a agi en colère de vrai prédateur qui cherche à dévorer tout ce qui bouge dans son sillage. C’est cynique et de la pire méchanceté. Selon la communication d’un des ténors du CSAC, le bureau de celui-ci est en difficulté pour satisfaire les attentes des membres de cette institution et en retour, M. Christian BOSEMBE se lance dans une opération de chasse aux sorciers. « Certainement vous êtes informés, dit ce haut-conseiller, que ça fait plusieurs mois de cette clameur publique qui prévaut au CSAC concernant la situation socio-professionnelle des agents mais aussi le problème de fonctionnement de notre institution ». « Il y a eu cette clameur publique et s’en est suivi d’une lettre ouverte d’un de nos collègue adressée aux membres du bureau qui jusqu’aujourd’hui n’a pas trouvé gain de cause », ajoute-t-il. Étant donné que M. BOSEMBE est assez limité pour bien digérer la préoccupation des autres, il s’est irrité parce qu’il est habitué dans une gestion opaque. Maffia sur maffia. Ce qui l’empêche d’installer une orthodoxie financière au CSAC. « En lieu et place de la réponse du bureau, nous avons été désagréablement surpris de constater quelques jours après que trois d’entre nous, Haut-Conseillers investis par ordonnance présidentielle, d’être invités à une séance de travail dans une structure de renseignement intitulé Conseil National de Cyber-défense pour répondre des griefs qui ne cadrent même pas avec la question de régulation » souligne ce haut-Conseiller qui est monté au créneau devant la presse.
Certains de nos collègues, poursuit-il, ont posé ce problème aux membres du bureau, particulièrement au Président qui est habilité de parler au nom de l’institution via notre plateforme qui est le groupe officiel des Hauts-Conseillers. Hélas le Président BOSEMBE en a fait fi. Il a tout foulé aux pieds. Le CSAC est actuellement sclérosé parce qu’il est géré des mains d’un journaliste qui n’a pas un parcours aussi riche dans le monde des médias. Lui-même n’a pas d’organe de presse. Christian BOSEMBE était beaucoup plus connu comme un tiktokeur mais à la grande surprise il a dribblé tous les Caïmans de la presse pour devenir le Président du CSAC. Les Haut-Conseillers doivent ouvrir l’oeil et le bon. Car cette pilule est entrain de tuer à petit feu cette institution. Affaire à suivre.
Mansueka ntima