Halte aux informations erronées lorsqu’il faut parler du Fonds Miniers pour les générations futures (FOMIN). Il est de bon escient de puiser les éléments à la source afin de palper du doigt les actions réelles du comité de gestion de cet établissement public de l’État congolais. C’est ce qui semble difficile pour certains au regard du dernier rapport de l’ITIE qui n’a pas repris correctement ce qui se passe au FOMIN. En effet, pendant que de nombreux observateurs constatent des exploits considérables du comité de gestion du FOMIN, l’ITIE est allé mettre à la place publique un rapport sur des faux chiffres qui n’honorent pas ses experts. Qu’à cela ne tienne, le Directeur Général du FOMIN ne lésine pas pour répondre favorablement à la mission lui confiée par le gouvernement congolais. Il va des prouesses en prouesses jusqu’à faire du FOMIN, un établissement fiable, prometteur et efficace. Ses chiffres parlent, les traces sont là et les actions continuent à faire surface à chaque passage du vent.
Selon nos fins limiers, le comité de gestion que dirige le Directeur Général Faustin BIRINGANINE reste déterminé dans la mobilisation des ressources. Contrairement aux allégations de l’ITIE pour l’année 2019 à 2022, le FOMIN mobilise 251.512.894,9 Usd soit 854.939.387.887,9 CDF dont à titre illustratif 38.072.069,7 Usd venus de la Banque Centrale ; 40.124.103,4 Usd de KCC ; 17.162.444 Usd de METAKOL ; 17.162.444 de MUTANDA MINING ; 8.281.489 Usd de COMMUS ; 6.090.601,5 Usd de RUASHI MINING ; 3.860.814,4 Usd de MMG ; 3.252.152,8 Usd de Métal Mines ; 3.152.451,7 Usd de MKM. Tout est donc traçable car lorsqu’on a besoin des chiffres, c’est trouvable. Le FOMIN a ses comptes à la Banque Centrale. Il n’y a rien qui peut échapper au contrôle. Tout se passe sans aucune opacité de gestion. D’ailleurs, il est à noter que pour une bonne traçabilité et réconciliation des comptes avec les partenaires, le comité de gestion du FOMIN avait sollicité auprès de la Banque Centrale du Congo et des Banques commerciales des détails sur les identités des miniers qui ont payé sur telle ou telle période et cela sur le total du montant encaissé de 2019 à 2022.
Il faut être de mauvaise fois pour tirer à boulets rouges les actions du comité de gestion du FOMIN car en dépit de certaines difficultés liées à la baisse du taux de la redevance revue à 8%, le comité BIRINGANINE réussit à maintenir l’équilibre et à faire des exploits. Aujourd’hui le FOMIN a acquis son propre bâtiment à KINSHASA et cela se poursuit jusqu’aux provinces. Le comité de gestion tient donc à une gestion équilibrée pour garantir les conditions des agents et apporter des résultats concrets au trésor public. Bravo au Directeur Général du FOMIN qui porte à cœur la vision du Chef de l’Etat, le Président Félix Antoine TSHISEKEDI dans ce secteur aussi important de la République Démocratique du Congo pour les générations futures.
*Des origines du FOMIN et de l’exploit du comité BIRINGANINE*
Si on était dans le domaine religieux, on parlera du miracle au regard des exploits palpables qu’a réalisé l’actuel comité de gestion du FOMIN. Créé en 2019 par le décret n°19/17 du 25 novembre 2019 du Premier ministre et celui n°23/05 du 20 mars 2023 modifiant quelques dispositions du 1er décret, le Fonds Minier pour les générations futures (FOMIN) a connu un accroissement rapide de ses services parce que confié aux mains des experts dans le domaine du trésor public. Le directeur général BIRINGANINE a débuté cet établissement avec zéro chiffre jusqu’à lui donner des millions. Il est parmi les rares qui connaissent les chiffres d’affaires dans un domaine donné. Son expertise donne aujourd’hui du fruit et il est inconcevable de lui créer des ennuis pendant que sa gestion reste orthodoxe. Pendant qu’il n’y avait rien il s’est évertué à trouver un découvert bancaire de 100.000 Usd pour commencer. Et voilà aujourd’hui, le FOMIN tout prend la forme dans une viabilité sans pareille. Ce genre d’exploit c’est parce que le Directeur Général BIRINGANINE marche pas à pas avec la vision du Chef de l’Etat qui a bien voulu mettre sur pied un tel fonds en vue de financer des projets innovants et futuristes que les jeunes générations viendront en bénéficier. C’est ce qui est stipulé dans le code minier congolais : Le FOMIN a donc reçu du législateur Congolais de percevoir 10% de la quotité sur l’exploitation minière sur l’ensemble du territoire national mais ce taux a été revu à la baisse pour 8%. Qu’à cela ne tienne, le comité BIRINGANINE tient au bon pour maintenir le FOMIN en bonne santé d’affaires. Il reste un établissement public de l’État congolais très prometteur grâce aux efforts sans répit et au management payant du Directeur Général. Félicitations à ce leadership qui donne de la lumière aux jeunes pendant que beaucoup voyaient tout sombre. Bien-faire et laisser dire, le DG BIRINGANINE mérite des fleurs. Nous y reviendrons.
Jacques ASUKA