Après que l’armée congolaise puisse confirmer d’avoir déjoué un coup d’État en date du 19 mai 2024 en République Démocratique du Congo (RDC), la situation sécuritaire reste inquiétante pour de nombreux citoyens au pays. Il y a un groupe appelé communément « Les Forces du Progrès », une milice proche du pouvoir qui se lance à violenter certains citoyens jusqu’à créer une situation d’insécurité très alarmante auprès de ces derniers. C’est notamment le cas de le dire pour celui de Mme Ruth Akoswa ELeko qui a subi des visites des hommes cagoulés qui sont venus mettre en mal la quiétude de cette paisible citoyenne. Le drame s’est déroulé à la commune de Ngaliema sur l’avenue Mbandaka n°15 à la nuit du 25 mai 2024. Une femme de cinquantaine a été agressée, violentée et violée par les hommes de cette milice pro – Udps, parti au pouvoir à Kinshasa. Pour de nombreux témoignages, les bourreaux de Mme Ruth Akoswa ELeko l’auraient accusé d’avoir des relations amoureuses avec l’un des assaillants de ce coup d’État manqué. Ils le font en revanche de cet événement contre leur pouvoir. Ils traquent, cependant, tout celui ou toute celle qui tombe malencontreusement sur leur chemin. Selon nos fins limiers, cette dame agressée est dans un état critique. Elle est condamnée à vivre dans la cachette car sa sécurité est en danger.
On dirait qu’une opération « chasse l’homme » a été mise en place en coulisse pour rendre des comptes à certaines personnes à la moindre soupçon. Les organisations des droits de l’homme tirent la sonnette d’alarme pour protéger ceux qui sont victimes à cette situation. La dame est d’une cinquantaine d’années. Elle est cadre à la Régie financière de la Ville de Kinshasa, DGRK en sigle. Un S.O.S est lancé par ses proches pour tout celui qui pourrait avoir des informations sur elle d’approcher la rédaction du journal qui transmettra.
La Rédaction